En commençant à prospecter pour l’achat d’un appartement plus spacieux que celui qu’ils louent actuellement à Nice Nord, David et son épouse ne s’attendaient pas à un tel « parcours du combattant ».
Le Niçois est juriste, son épouse assistante maternelle. Âgés de 55 et 51 ans, parents de deux enfants et propriétaires par le passé à plusieurs reprises, les époux gagnent 5.000 euros à deux et bénéficient d’une situation financière stable. Pourtant, leur chemin n’a pas manqué d’embûches.
« Il y a un an, lorsque nous avons pris la décision d’acheter, nous avons commencé par faire le tour des banques. » Contexte inflationniste oblige, « les taux proposés étaient, certes moindres que pour nos acquisitions précédentes, mais tout de même élevés et notre capacité d’emprunt insuffisante au vu des prix de l’immobilier. Puis les biens sur le marché, trop chers pour ce qu’ils étaient. Nous avons donc mis notre projet en stand-by. Nous nous sommes dit tant pis, attendons, restons locataires pour l’instant et mettons de l’argent de côté pour avoir de l’apport supplémentaire. »
« On nous a clairement fait sentir que c’était du donnant-donnant »
Début 2024, David et son épouse relancent la machine. Avec, dès les premiers mois, une nouvelle déception à la clé.
« Nous avons sollicité notre banque en premier lieu, poursuit David. Malgré une ancienneté depuis plus de vingt ans, une absence d’incidents bancaires et de crédit à la consommation, nous n’avons senti aucune considération. C’est même tout le contraire. On nous a clairement fait sentir que c’était du donnant-donnant: on nous faisait l’honneur de nous accorder un prêt uniquement si nous prenions toutes les assurances chez eux, alors même que nous y avons déjà tous nos comptes et contrats d’assurance. » À cela s’est ajoutée une lourdeur administrative. « Au départ, comme le veut la procédure, il fallait fournir les trois derniers bulletins de salaire. Puis ils ont réclamé toujours plus de papiers, toujours plus de garanties. Tout cela pour un taux à presque 4%. »
De quoi décourager, et même « dégoûter », le couple, qui finit par faire appel aux services d’une courtière.
« Les prix restent élevés »
« Depuis quelques semaines, cette professionnelle a pris notre dossier en main. Nous avons trouvé un bien correspondant à nos critères, habitable immédiatement et situé dans notre quartier de prédilection, sur l’avenue Borriglione. Nous venons de signer le compromis et attendons le retour des banques. La courtière est optimiste, un taux à 3,50% devrait nous être proposé sur 20 ans », s’enthousiasme David.
Dans quelques semaines, le couple devrait donc devenir l’heureux propriétaire d’un grand trois-pièces acquis au prix de 320.000 euros. « Un coût raisonnable par rapport à tout ce que nous avons pu visiter auparavant, dans un secteur et une ville où, il faut le dire, les prix restent élevés. »
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