Quartier en vogue depuis plusieurs années, le Vieux-Nice reste majoritairement prisé par les investisseurs, au plus grand désarroi des locaux qui peinent parfois à trouver des résidences principales.
Ses façades multicolores, ses ruelles naturellement « climatisées », ses places bucoliques, ses monuments historiques : le centre-ancien a décidément tout pour séduire.
Mais dans un secteur où les prix oscillent entre 5.000 et 12.000 euros le m², entre les plus accessibles et les plus attractifs, à l’image de l’iconique rue des Ponchettes, rares sont les Niçois à pouvoir s’offrir un bien pour y vivre à l’année.
« Avant, personne ne voulait du Vieux, pour son côté malfamé. Mais maintenant, tout le monde souhaite acquérir un bien ici », résume Lola Macanda-Dauwe, directrice du groupe Palais Immobilier, dont l’agence rue de la Préfecture existe depuis trente ans, et qui a succédé à son père.
« Ce qui est un peu dommage, et ce n’est un secret pour personne, c’est qu’une grande majorité de la clientèle souhaite y obtenir un bien uniquement pour faire du saisonnier. »
Dans le Vieux-Nice, le rendement locatif attire
Une tendance qui prend tout son sens en été, le territoire étant le plus fréquenté par les nombreux voyageurs qui séjournent dans notre cité. « Détenir un bien ici, c’est l’assurance d’une bonne rentabilité locative. Les acquéreurs souhaitent d’ailleurs des appartements déjà rénovés, clé en main, qui ne nécessitent qu’un ameublement avant d’être placé sur les plateformes. »
Malgré quelques points négatifs qui reviennent souvent, comme « les nuisances sonores », l’absence parfois de « luminosité » et souvent d’un « extérieur », les nombreux avantages offerts par le secteur continuent de séduire.
La « proximité avec les commerces et la plage » en premier lieu, mais aussi les « vues » sur les bâtiments historiques. « Même le stationnement n’est plus un problème avec le tram et les parkings du centre-ville (Corvesy, Palais de Justice, Saleya…) qui proposent des abonnements pour les riverains. »
Une demande impressionnante qui a mécaniquement fait grimper les prix, jusqu’aux garages, aujourd’hui rares sur le marché. « Certains se vendent entre 60.000 et 70.000 euros. »
Du côté des biens d’exception, Lola Macanda-Dauwe et Palais Immobilier ont vendu il y a quelques années pour plus d’un million d’euros « l’unique rez-de-jardin du Vieux-Nice, avec un extérieur de 120 m², dans une maison unique sur trois niveaux et découpée en trois lots. »
Une rareté, comme « les biens donnant directement sur le cours Saleya », qui ne « restent jamais bien longtemps en vitrine. » Tout comme la célèbre rue Rossetti, nichée entre la colline du Château et la place éponyme, qui reste l’une des plus demandées.
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